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•Si le moteur cale ou si vous perdez
votre élan – Si le moteur cale ou si le
véhicule « perd du terrain » en gravis-
sant une pente, laissez-le s’immobiliser
et serrez immédiatement les freins. Re-
démarrez le moteur et passez en mar-
che arrière. Reculez lentement vers le
bas de la pente en laissant le frein
moteur par compression et la transmis-
sion vous aider à réguler votre vitesse.
Appuyez légèrement sur les freins si
vous en avez besoin pour maîtriser la
vitesse du véhicule afin d’éviter le blo-
cage ou le patinage des pneus.MISE EN GARDE!
Si le moteur s’étouffe ou si vous
perdez
votre élan et n’arrivez pas à
atteindre le sommet d’une colline ou
d’une pente raide, n’essayez jamais
de faire demi-tour. Ce genre de ma-
nœuvre peut faire basculer le véhi-
cule ou résulter en plusieurs ton-
neaux et vous pourriez vous blesser
gravement. Reculez toujours pru-
demment, tout droit vers le bas de la
pente, en MARCHE ARRIÈRE (R). Ne
reculez jamais dans une pente en
plaçant la transmission en position N
(POINT MORT) et en n’utilisant que
les freins du véhicule. Souvenez-
vous qu’il ne faut jamais conduire le
long d’une pente. Abordez la pente
tout droit, en montant ou en descen-
dant. Conduite dans l’eau
Vous devez faire preuve d’une grande
prudence lorsque vous traversez un cours
d’eau. La conduite dans l’eau doit être
évitée dans la mesure du possible. Sinon,
elle doit s’effectuer avec un minimum de
risques. Vous devez emprunter unique-
ment les passages désignés et permis.
Vous ne devez pas laisser de traces de
votre passage et vous devez respecter
l’environnement. Vous devez connaître les
limites de votre véhicule et pouvoir vous
dégager en cas de problème. Vous ne
devriez pas vous arrêter ou couper le
contact lorsque vous êtes en eau pro-
fonde, à moins que l’eau ne se soit infiltrée
dans le système d’admission du moteur.
Si le moteur cale, ne tentez pas de le faire
redémarrer. Essayez de déterminer si
l’eau a pénétré dans le moteur. Le fran-
chissement d’un point d’eau doit se faire
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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lentement, en optant pour un maximum de
démultiplication. Utilisez le premier rap-
port en mode 4L (4 roues motrices gamme
basse) et avancez très lentement, à une
vitesse constante (5 à 8 km/h [3 à 5 mi/h])
au maximum en appuyant très légèrement
sur la pédale d’accélérateur. Conservez
votre vitesse et ne tentez pas d’accélérer
lors du franchissement. Après avoir tra-
versé un cours d’eau dont le niveau dé-
passe la partie inférieure des ponts, véri-
fiez si les lubrifiants montrent des traces
de contamination par l’eau.
AVERTISSEMENT!
L’eau peut pénétrer dans les ponts,
la transmission, la boîte de transfert,
le moteur ou l’habitacle si vous rou-
lez trop vite ou si l’eau est trop pro-
fonde. L’eau peut endommager irré-
médiablement le moteur, les organes
de transmission et certains compo-
sants du véhicule. En outre, l’effica-
cité du système de freinage est net-
tement affectée par l’eau et la boue.
• Avant de franchir tout type de pas-
sage à gué – Lorsque vous approchez
d’un tel obstacle, vous devez détermi-
ner si vous pouvez le traverser sans
risque. Si nécessaire, descendez du
véhicule et traversez la nappe d’eau à
pied, en vous aidant d’une branche
pour évaluer la nature de son lit. Vous
devez vous assurer de la profondeur de
l’eau, de votre angle d’approche, de la
force du courant et de la nature du lit de
la nappe d’eau. Soyez particulièrement
vigilant si l’eau est noire ou boueuse.
Vérifiez la présence d’obstacles dissi-
mulés. Assurez-vous de ne pas pertur- ber la faune aquatique et de pouvoir
vous dégager d’une situation de dé-
tresse. Les éléments clés d’un passage
à gué sont : la profondeur de l’eau, la
force du courant et la nature du lit de la
nappe d’eau. Si le fond est meuble,
vous risquez de voir le véhicule s’enfon-
cer et le niveau de l’eau monter plus
haut que prévu. N’oubliez pas de tenir
compte d’une telle situation lorsque
vous devez déterminer la profondeur
de l’eau et les possibilités de la franchir
sans risque.
• Flaques d’eau, mares, zones inon-
dées ou eau stagnante – Les flaques
d’eau, les mares, les zones inondées
ou l’eau stagnante sont généralement
noirâtres et boueuses. Celles-ci ca-
chent habituellement des obstacles et
l’évaluation de la profondeur de l’eau,
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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du meilleur angle d’approche et la na-
ture du fond de l’eau sont difficiles à
évaluer. Il est sage d’attacher ses san-
gles de remorquage avant d’entrepren-
dre le passage de trous d’eau. Si né-
cessaire, vous pouvez dégager votre
véhicule plus rapidement, plus facile-
ment et peut-être plus proprement. Si
vous croyez pouvoir franchir l’obstacle,
faites-le lentement, en utilisant un maxi-
mum de démultiplication.
AVERTISSEMENT!
Les eaux troubles réduisent l’effica-
cité du circuit de refroidissement en
laissant des débris sur le radiateur.
• Fossés, cours d’eau, rivières peu
profondes ou eau vive – L’eau vive
peut être très dangereuse. Ne tentez
pas de franchir un cours d’eau ou une rivière à fort courant, bien qu’ils soient
peu profonds. Un fort courant peut fa-
cilement entraîner votre véhicule et
saura vous désarmer complètement.
Malgré la faible profondeur de l’eau, un
fort courant peut entraîner le sable ou
les roches qui se trouvent autour des
pneus et vous mettre rapidement en
péril. Les risques de blessures ou de
dommages au véhicule sont nettement
amplifiés par un fort courant bien que la
profondeur de l’eau ne dépasse pas les
limites de garde au sol du véhicule. Ne
tentez jamais de franchir un cours
d’eau ou une rivière à fort courant dont
le niveau de l’eau dépasse les limites
de garde au sol du véhicule. Même un
faible courant peut entraîner le plus
lourd des véhicules si la profondeur de
l’eau est suffisante pour pousser contre
les surfaces importantes de la carros-
serie. Avant de vous aventurer, essayez
de connaître la force du courant, la
profondeur de l’eau, l’angle d’appro-
che, l’état du lit de la rivière et la pré-
sence éventuelle d’obstacles, puis
amorcez lentement le passage, en uti-
lisant un maximum de démultiplication.
MISE EN GARDE!
Ne traversez jamais rapidement un
cours
d’eau profond dont le courant
semble fort. Votre véhicule serait lit-
téralement balayé par le courant.
Vous et vos passagers pourriez être
blessés et risquer la noyade.
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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Le sous-gonflage des pneus en
conduite hors route
Une pression de gonflage réduite des
pneus peut améliorer le confort et la mo-
tricité du véhicule. Le débordement des
flancs d’un pneu partiellement dégonflé
augmente sa surface de contact, procure
une meilleure portance et laisse le pneu
s’adapter fidèlement aux irrégularités du
terrain. La pression de gonflage idéale
varie selon la nature du terrain, le type de
pneu utilisé ou le modèle du véhicule. Les
surfaces dures telles que la roche, etc., en
combinaison avec un véhicule plus lourd,
nécessitent une pression de gonflage su-
périeure alors que les surfaces plus meu-
bles telles que le sable, etc., avec un
véhicule léger, nécessitent une pression
de gonflage inférieure. Il s’agit d’essayer
diverses pressions de gonflage afin de
déterminer celle qui convient le mieux àvotre cas. Il est certainement plus facile
de libérer la pression d’un pneu que de le
regonfler, donc, procédez graduellement.
Il ne faut pas oublier de regonfler vos
pneus à la pression préconisée avant de
reprendre la route pavée ou de rouler sur
des surfaces compactées. Assurez-vous
de disposer d’une source d’air comprimé
pour regonfler vos pneus le moment venu.
AVERTISSEMENT!
Des pneus partiellement dégonflés
risquent de s’endommager et de se
déjanter, ou alors de se dégonfler
entièrement. Pour éviter une telle si-
tuation, réduisez votre vitesse, bra-
quez et manœuvrez doucement. Récupération du véhicule
En conduite hors route, les risques sont
nombreux et vous devez envisager la pos-
sibilité de devoir récupérer votre véhicule.
Vous devez toujours songer à la récupé-
ration possible de votre véhicule avant de
franchir un obstacle difficile. Vous ne de-
vriez jamais entreprendre une excursion
hors route sans prévoir la récupération
possible de votre véhicule. L’aide d’un
second véhicule constitue la meilleure so-
lution de dépannage hors route. En pre-
mier lieu, il s’agit d’évaluer la situation.
Pourquoi êtes-vous enlisé? Le véhicule
est-il soulevé par un obstacle? Serait-il
mieux d’avancer ou de reculer? Est-il en-
core possible de déplacer le véhicule?
Peut-on trouver un point d’ancrage pour le
treuil? Êtes-vous seul ou accompagné
d’un autre véhicule? Les risques de dom-
mages sont-ils élevés pour dégager le
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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Page 373 of 632

véhicule? La réponse à toutes ces ques-
tions aidera à déterminer la meilleure fa-
çon de dégager le véhicule. Si le véhicule
n’est pas complètement enlisé en terrain
glissant, il faut d’abord tenter la méthode
du mouvement de va-et-vient. Si vous
roulez à deux véhicules, si l’espace est
dégagé et si les possibilités d’impact sur
le terrain sont minces, la solution la plus
rapide et facile consiste à utiliser les san-
gles et les crochets de remorquage. Si le
véhicule est soulevé par un obstacle ou si
la situation demande un maximum de
précautions, le treuil offre la meilleure so-
lution. Si le véhicule est exagérément sou-
levé par un obstacle, il est préférable
d’utiliser un cric de façon à loger des
roches ou des branchages sous les roues
afin de le libérer sans causer davantage
de dommages. Cette méthode est préfé-
rable à toute autre solution de dépannage.AVERTISSEMENT!
La fait de tirer un véhicule pour le
libérer d’un obstacle sans d’abord
dégager cet obstacle peut endomma-
ger davantage la sous-carrosserie du
véhicule.
• Mouvement de va-et-vient – Le mou-
vement de va-et-vient est l’une des mé-
thodes les plus faciles et rapides et la
plus couramment utilisée. Il s’agit sim-
plement de passer de la position D
(marche avant) à la position R (marche
arrière) en appuyant sur la pédale d’ac-
célérateur après chaque inversion de
mouvement. Durant la manœuvre, tour-
nez rapidement le volant dans les deux
sens d’environ un quart de tour au
maximum pour obtenir une adhérence
accrue. Si vous êtes enlisé dans la
boue, le sable ou la neige, faites patiner les roues afin de nettoyer les sculptures
des pneus et ainsi améliorer la traction.
Vous devez réussir à créer un mouve-
ment de va-et-vient. Ce mouvement
peut donner un élan au véhicule, qui
devrait vous aider à le dégager.
Assurez-vous de relâcher la pédale
d’accélérateur avant et après les chan-
gements de rapport. Si la méthode du
va-et-vient ne suffit pas, abandonnez et
essayez un moyen mieux adapté. Un
mouvement de va-et-vient continu peut
endommager inutilement votre véhicule
et dégrader le terrain.
AVERTISSEMENT!
Le patinage des roues à grande vi-
tesse risque d’endommager le véhi-
cule. Ne faites pas patiner les roues à
plus de 48 km/h (30 mi/h).
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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Page 374 of 632

•Utilisation des crochets et sangles
de remorquage – Les sangles de re-
morquage constituent un moyen facile
de dégager votre véhicule de situations
peu difficiles si vous disposez d’un se-
cond véhicule qui n’est pas enlisé. Les
crochets de remorquage de votre véhi-
cule sont conçus pour encaisser les
contraintes abusives normalement im-
posées par la récupération d’un véhi-
cule en détresse. N’utilisez pas les
pare-chocs ou les autres composants
du véhicule comme point d’ancrage.
L’utilisation de sangles de remorquage
nécessite une bonne coordination entre
les deux conducteurs. Pour réaliser une
récupération sans risque, il faut une
bonne communication entre les
conducteurs et une excellente vue de
l’ensemble. Fixez d’abord la sangle de
remorquage aux crochets appropriés des deux véhicules. Afin de minimiser
les risques, espacez les véhicules d’au
moins6à9m(20à30pi). Au besoin,
reliez deux sangles au moyen d’une
cheville de bois dur de 3,8 cm (1,5 po).
Cette pratique empêchera les sangles
de se nouer et constitue une approche
plus sécuritaire que l’utilisation de cha-
pes en métal si la sangle venait à se
rompre. Faites reculer le véhicule de
dépannage, en laissant entre
0,6 et 0,9 m (2 à 3 pi) de mou sur la
sangle. Le véhicule de dépannage doit
maintenant accélérer doucement jus-
qu’à tendre la sangle et fournir la puis-
sance nécessaire pour dégager le vé-
hicule en détresse. Le conducteur du
véhicule en détresse doit également
participer à l’opération en faisant pati-
ner les roues dans la même direction
que le véhicule de dépannage. Une foisle véhicule en détresse dégagé, son
conducteur doit le signaler et appliquer
les freins afin d’immobiliser les deux
véhicules. Le conducteur du véhicule
de dépannage doit alors relâcher l’ac-
célérateur sans appliquer les freins,
une fois qu’il a compris que le véhicule
en détresse est dégagé. Cette sé-
quence est importante afin d’éviter que
le véhicule dépanné ne heurte le véhi-
cule de dépannage.
MISE EN GARDE!
N’utilisez jamais de sangles avec
crochets
d’extrémité ou deux san-
gles reliées par une chape métalli-
que. Si la sangle venait à se rompre,
ces pièces métalliques pourraient
être projetées et provoquer de gra-
ves blessures. Ne laissez jamais plus
DÉMARRAGE ET CONDUITE
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de 0,6 à 0,9 mètre (2 à 3 pieds) de jeu
dans la sangle. Un jeu excessive
augmente grandement les risques de
blessures et de dommages aux véhi-
cules. Ne laissez personne s’appro-
cher à moins de 9 mètres (30 pieds)
lors d’une opération de remorquage
ou de treuillage.
• Treuillage (consultez le paragraphe
« Utilisation du treuil » pour obtenir
de plus amples renseignements) –Le
treuillage est l’opération la plus cou-
ramment utilisée dans les situations sui-
vantes : il n’y a pas de véhicule de
dépannage disponible, une grande
puissance contrôlée est nécessaire
pour dégager le véhicule, les risques
de dommages à l’environnement et au
véhicule sont élevés, aucune autre so-
lution ne semble fonctionner. Un treuil peut fournir une grande puissance bien
contrôlée. Il permet de dégager votre
véhicule de façon lente et contrôlée.
Cette façon de procéder évite d’en-
dommager davantage votre véhicule.
Si vous décidez d’avoir recours au
treuil, recherchez un bon point d’an-
crage. Ce point d’ancrage doit pouvoir
supporter une charge supérieure au
poids du véhicule et fournir une direc-
tion de treuillage aussi droite que pos-
sible. Au besoin, utilisez un palan pour
modifier l’angle de treuillage ou aug-
menter la force de tirage. Si le point
d’ancrage est un arbre, enroulez une
sangle à sa base et raccordez le câble
à la sangle. Si le point d’ancrage est un
second véhicule, serrez le frein de sta-
tionnement et bloquez les roues avant.
Si vous ne trouvez aucun point d’an-
crage satisfaisant, utilisez votre roue desecours en l’enfouissant sous terre.
Lorsque le point d’ancrage est fixé,
attachez-y le câble en vous assurant
qu’il est enroulé d’au moins cinq tours
sur le tambour, et placez un tapis ou un
autre objet similaire sur le câble tendu.
Le positionnement d’un objet sur le
câble tendu aide à le garder au sol s’il
venait à se rompre. Sélectionnez le pre-
mier rapport et accélérez doucement
au moment d’actionner le treuil. Veillez
à ne pas laisser de mou dans le câble
au moment de dégager le véhicule. Ne
tentez pas de guider le câble sur le
tambour. Si le câble semble s’enrouler
exagérément à une extrémité du tam-
bour, n’intervenez pas. Vous pourrez
réenrouler correctement le câble après
l’opération. N’utilisez jamais un câble
DÉMARRAGE ET CONDUITE
373
Page 376 of 632

de treuil en guise de sangle de remor-
quage et ne restez pas près du câble
pendant le treuillage.
MISE EN GARDE!
Un câble de treuil sous tension peut
se
rompre et se transformer en pro-
jectile dangereux. Ne vous tenez pas
au dessus du câble et ne l’enfour-
chez jamais. N’imposez pas de se-
cousses au câble et ne le surchargez
pas. Ne vous placez jamais devant le
véhicule pendant l’opération de
treuillage. Vous risqueriez sinon de
subir de graves blessures ou la mort.
Après la conduite hors route
La conduite hors route impose plus de
contraintes sur votre véhicule que la
conduite sur la plupart des routes. Après avoir conduit hors route, il est toujours
avisé de vérifier s’il y a des dommages.
Vous pouvez ainsi remédier immédiate-
ment aux problèmes et maintenir votre
véhicule prêt quand vous en avez besoin.
•
Inspectez en détail la sous-carrosserie
de votre véhicule. Vérifiez les pneus, la
structure de la carrosserie, la direction,
la suspension et le système d’échappe-
ment à la recherche d’éventuels
dommages.
• Vérifiez la présence de boue ou de
débris dans le radiateur et nettoyez, au
besoin.
•
Vérifiez si les attaches filetées ne sont
pas desserrées, particulièrement sur le
châssis, les composants du groupe
motopropulseur, la direction et la suspen-
sion. Resserrez-les au besoin, et serrez-
les, si nécessaire, aux valeurs de couple
spécifiées dans le manuel d’atelier.
• Vérifiez l’accumulation de végétation ou
de broussailles. De tels débris consti-
tuent un risque d’incendie. En outre, ils
peuvent dissimuler des dommages aux
canalisations de carburant, aux flexi-
bles de freins, aux joints de planétaire
et aux arbres de transmission.
• Après une utilisation prolongée dans la
boue, le sable, l’eau ou des conditions
salissantes similaires, faites vérifier le
radiateur, le ventilateur, les disques et
les garnitures de frein, les roues et les
chapes d’essieu, puis faites-les net-
toyer dès que possible.
MISE EN GARDE!
Un matériau abrasif dans une partie
quelconque
des freins peut causer
une usure excessive ou un freinage
imprévisible. Vous pourriez ne pas
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